SÉGOLÈNE ...
Pas folle la guêpe !
Je ne livre ici que le fruit de mon intuition à prendre comme tel avec tout ce qu'il comporte d'aléatoire.
Les éléphants, dans leur aveuglement, ont perdu le chemin de leur fameux cimetière et j'ai l'impression que Ségolène va les y conduire en douceur.
C'est avec raison qu'elle a choisi de ne pas provoquer au sein du PS une rupture brutale qui aurait pu conduire à une scission ou même à une dissolution pure et simple. Il est pour elle beaucoup plus judicieux de se maintenir au chaud dans le parti, forte de la légitimité que lui ont conférée 50% des militants et qui lui permet de tenir la dragée haute à sa rivale tout en se réservant la liberté d'agir en marge du parti, sur le terrain, là où elle excelle dans le contact avec le peuple.
Contrairement à Jean-Christophe Cambadélis et consorts, Ségolène ne croit pas que le PS puisse n'être qu'un parti de militants. Les élections ne se gagnent pas avec les militants mais avec les citoyens électeurs. A cet égard, je souhaite qu'elle développe encore son projet de "démocratie participative", idée originale et qui comme telle a été décriée ou raillée par l'appareil du parti dépourvu d'imagination et qui ne veut surtout pas d'un changement qui le mettrait sur la touche au profit de la jeune génération.
De cette manière, Ségolène sera mieux placée pour la prochaine élection présidentielle qu'aucun ou aucune autre socialiste et ce d'autant mieux que les coups bas qui viennent de lui être portés l'exonèrent du profond discrédit dont le PS souffre depuis déjà longtemps dans l'opinion.
Les éléphants, dans leur aveuglement, ont perdu le chemin de leur fameux cimetière et j'ai l'impression que Ségolène va les y conduire en douceur.
C'est avec raison qu'elle a choisi de ne pas provoquer au sein du PS une rupture brutale qui aurait pu conduire à une scission ou même à une dissolution pure et simple. Il est pour elle beaucoup plus judicieux de se maintenir au chaud dans le parti, forte de la légitimité que lui ont conférée 50% des militants et qui lui permet de tenir la dragée haute à sa rivale tout en se réservant la liberté d'agir en marge du parti, sur le terrain, là où elle excelle dans le contact avec le peuple.
Contrairement à Jean-Christophe Cambadélis et consorts, Ségolène ne croit pas que le PS puisse n'être qu'un parti de militants. Les élections ne se gagnent pas avec les militants mais avec les citoyens électeurs. A cet égard, je souhaite qu'elle développe encore son projet de "démocratie participative", idée originale et qui comme telle a été décriée ou raillée par l'appareil du parti dépourvu d'imagination et qui ne veut surtout pas d'un changement qui le mettrait sur la touche au profit de la jeune génération.
De cette manière, Ségolène sera mieux placée pour la prochaine élection présidentielle qu'aucun ou aucune autre socialiste et ce d'autant mieux que les coups bas qui viennent de lui être portés l'exonèrent du profond discrédit dont le PS souffre depuis déjà longtemps dans l'opinion.