BURQA, ISLAM ET CONSEIL D'ETAT
En tirer les leçons avec discernement
عبرة لمن يعتبر
Une femme portant la burqa s'est vue la nationalité française refusée par le Conseil d'Etat pour "défaut d'assimilation" à la société républicaine.

La burqa (en arabe برقع ) est un voile qui cache totalement le visage et le corps.* Les femmes qui le portent de leur plein gré et surtout les hommes qui imposent à leurs épouses, soeurs ou filles de le porter se réclament d'une prétendue obligation islamique. En cela ils sont dans l'erreur et je peux affirmer sans crainte d'être contredit de bonne foi par un imam quelconque que ce sont en fait des hérétiques. Les condamner sévérement ne constituerait donc en aucun cas une atteinte portée à l'Islam en tant que religion reconnue et respectée.
Avant de vous livrer en traduction française puis dans le texte arabe ce que dit le Coran à propos du devoir de pudeur des femmes comme des hommes en Islam, je voudrais aller bien plus loin que le Conseil d'Etat et ce sans crainte d'être accusé d'islamophobie puisque dans cette affaire ce n'est pas l'Islam qui est en cause mais une déviance scandaleuse qui constitue une injure à cette religion et à ses fidèles. voir L'ISLAMISME ENTRE CRIME ET HÉRÉSIE

La burqa (en arabe برقع ) est un voile qui cache totalement le visage et le corps.* Les femmes qui le portent de leur plein gré et surtout les hommes qui imposent à leurs épouses, soeurs ou filles de le porter se réclament d'une prétendue obligation islamique. En cela ils sont dans l'erreur et je peux affirmer sans crainte d'être contredit de bonne foi par un imam quelconque que ce sont en fait des hérétiques. Les condamner sévérement ne constituerait donc en aucun cas une atteinte portée à l'Islam en tant que religion reconnue et respectée.
Avant de vous livrer en traduction française puis dans le texte arabe ce que dit le Coran à propos du devoir de pudeur des femmes comme des hommes en Islam, je voudrais aller bien plus loin que le Conseil d'Etat et ce sans crainte d'être accusé d'islamophobie puisque dans cette affaire ce n'est pas l'Islam qui est en cause mais une déviance scandaleuse qui constitue une injure à cette religion et à ses fidèles. voir L'ISLAMISME ENTRE CRIME ET HÉRÉSIE
Ce n'est pas à mon avis la femme en question qui doit être sanctionnée mais son mari condamné pour abus et mauvais traitement sur personne dépendante et incitation ostensible à la discrimination . Plutôt que d'interdire l'accès à la nationalité française de l'épouse c'est l'époux qui devrait plus justement être déchu de cette même nationalité, puisqu'il est parait-il français.
Voici ce qu'on peut lire dans le texte coranique: "Dis aux croyantes de baisser leurs regards, d'être chastes, de ne montrer que l'extérieur de leurs atours, de rabattre leurs voiles sur leurs poitrines ...".
Or, ce verset est immédiatement précédé d'un autre concernant les hommes et qui, curieusement, n'est jamais évoqué. Le voici: "Dis aux croyants de baisser leurs regards, d'être chastes. Ce sera plus pur pour eux. Dieu est bien informé de ce qu'ils font".
Voici ce qu'on peut lire dans le texte coranique: "Dis aux croyantes de baisser leurs regards, d'être chastes, de ne montrer que l'extérieur de leurs atours, de rabattre leurs voiles sur leurs poitrines ...".
Or, ce verset est immédiatement précédé d'un autre concernant les hommes et qui, curieusement, n'est jamais évoqué. Le voici: "Dis aux croyants de baisser leurs regards, d'être chastes. Ce sera plus pur pour eux. Dieu est bien informé de ce qu'ils font".
Voici le texte concernant les hommes: قل للمؤمنين يغضّوا من إبصارهم ويحفظوا فروجهم ذلك آزكى
لهم إنّ ألله خبير بما يصنعون
Puis les femmes: وقل للمؤمنات يغضن من أبصارهنٌ ويحفظن فروجهنّ ولا يبدين زينتهنّ إلا ما ظهر منها وليضربن بخمرهنّّ على جيوبهنّ
Il faut savoir que dans Arabie tribale de l'époque du Prophète, les femmes païennes se dévoilaient la poitrine et l'agitaient avec leurs mains pour encourager les hommes partant au combat. Quant aux esclaves de sexe féminin, elles marchaient le plus souvent la poitrine découverte.
Dans le texte coranique il n'est nulle part question de couvrir le visage. Le voile ou fichu dont les femmes devaient rabattre les pans sur leur poitrine n'était sans doute rien d'autre que le voile commun des orientales. Pensez seulement aux représentations traditionnelles de la Vierge Marie.
Dans sa version authentique la burqa' (en Arabe burqu') est une pièce de tissus généralement noire ne couvrant que le bas du visage et accroché à un serre-tête frontal et un tube métallique généralement en or passant devant le nez. Il n'est pratiquement plus en usage.

Dans le texte coranique il n'est nulle part question de couvrir le visage. Le voile ou fichu dont les femmes devaient rabattre les pans sur leur poitrine n'était sans doute rien d'autre que le voile commun des orientales. Pensez seulement aux représentations traditionnelles de la Vierge Marie.
Dans sa version authentique la burqa' (en Arabe burqu') est une pièce de tissus généralement noire ne couvrant que le bas du visage et accroché à un serre-tête frontal et un tube métallique généralement en or passant devant le nez. Il n'est pratiquement plus en usage.
